Collection Lesbiennes. Ma Belle-SœUr Me Dévoile Ma Bisexuelle (1/7)

- Voyons comment nous allons nous installer.
Si vous saviez ce que je suis content de t’avoir Josy avec mes petits-s pendant deux mois et toi Claudia ma fille pour le mois de juillet seulement.
J’ai eu une idée, les filles vous vous installez dans le logement au sous-sol, quand tu retourneras à Paris Claudia, Franck retrouvera sa petite femme.
Vous aurez une salle de bains à disposition sans avoir à vous déplacer.
Benoît et Lora prendront la chambre mitoyenne à la mienne, il y a vos deux lits d’s Claudia où vous dormiez à Paris.
Je dors peu, je les entendrais s’il y a un problème et je vous appellerais.
En étant dans la pièce du bas, vous serez au frais et ça évitera à l’une de vous de dormir dans la soupente qui me servira qu’en cas d’appoint.
- Merci Jacques, aucun problème, pas vrai Josy, nous allons bien nous entendre.

Papy pour ses petits-s, Jacques pour les adultes a quitté Paris il y a six mois.
À la retraite, il nous a vendu son appartement dans le 18ème à mon mari et c’est là que nous habitons.
Franck est expert-comptable comme lui, ils ont travaillé ensemble après que mon mari a eu ses diplômes.
Jacques a commencé avant-guerre avec Lola sa femme experte elle aussi.
Lola ma belle-mère que j’ai peu connue car elle est décédée l’année de notre mariage d’un cancer du sein trop tardivement soigné.
Les s s’installent, il faut que j’intervienne lit droit, lit gauche, ils sont identiques et malgré leur 6 ans pour mon fils et 5 pour ma fille.
Je dois sévir les deux veulent le même, c’est Claudia qui ramène le calme, elle il l’écoute.
Problème réglé, ils vont dans le jardin, beau-papa a installé un portique avec deux balançoires.
Ouf ! il a mis des cordes un peu plus longues et Benoît se sent le grand de la famille.

- Couches-tu à gauche ou à droite ?
- On ne va pas faire comme mes s, tu as posé ta valise à droite, reste à droite, je coucherais à gauche.



Nous nous installons et nous rejoignions les s qui avec mon beau-père préparent la table sur la terrasse.
Repas à la nuit tombante, nous sommes tous fatigués après les kilomètres faits dans la voiture de Claudia.
J’admire ma belle-sœur, elle est coiffeuse à domicile et elle possède un magnifique appartement elle aussi dans le 18e avec cette grosse berline très confortable.

- Aller les s aux lits.
- On n’a pas vu la mer maman, tu avais promis si on était sage.
- Et vous croyez l’avoir été, en vous disputant pour un simple lit.
Demain après-midi, nous irons de 14 heures à 18 heures ça soulagera votre grand-père.

C’est fait, les s sont couchés, beau-papa s'est retiré et nous sommes dans des transats avec nos robes que nous avons passées pour aller manger.
Ma main se trouve à portée de main de celle de Claudia, elle l’a saisi et à la lueur de la lampe qui nous éclaire, elle me masse doigts après-doigts.

- Demain matin, je te prends en main, j’ai une idée de coiffure pour toi avec manucure.
Sais-tu que je viens de faire une formation de peinture sur ongle, j’ai un catalogue de ce que je sais faire, tu choisiras ?
- Merci, avec les s, j’ai peu de temps à me consacrer.
- Au lit jeune fille, j’espère que tu ne ronfles pas !
- Ton frère oui, moi, je ne le crois pas.

Nous redescendons dans notre sous-sol, je me déshabille pour la première fois devant une autre femme.
Ça peut paraître bizarre, mais c’est pourtant l'exacte vérité.
Claudia enlève tout me montrant sa chatte entièrement épilée.
Elle plonge dans le lit dans le plus simple appareil alors que je sors ma chemise de nuit en pilou.

- Mais c’est affreux, ta chemise c’est un tue l’amour.
Mon frère te permet de porter une telle horreur, vous devez souvent jouer les culs tournés.

Il est vrai que depuis la naissance de Lora, nos rapports sont de plus en plus espacés.


- Si tu gardes cette horreur, je vais coucher sur le canapé.

C’est ainsi que pour la première fois de ma vie, je me couche nue à ses côtés.
La lampe éteinte, en quelques minutes, la respiration de ma belle-sœur montre que le voyage a eu raison de son état de fatigue.
J’ai eu le temps de voir ses seins avant qu’elle n’éteigne, ils sont presque le double des miens.
Pourtant j'ai allaité, elle à 28 ans et est toujours célibataire.

Dans la nuit, Claudia a pris ses aises, une jambe par-dessus les miennes et sa main posée sur ma poitrine.
Je me surprends à ce que ma fraise bande sous l’attouchement.
Mes fraises, c’est un point fort de mes seins, elles doivent être goûteuses car Franck adore les sucer, les faire rouler sous sa langue ce qui je dois le dire ne me laisse jamais indifférente car ça me fait mouiller.

J’ai envie de l’ôter pour éviter que si elle se réveille, il y ait la moindre ambiguïté entre nous.

- C’était sympa, ma main sur ton sein.
Viens, je meurs de faim, papa à toujours de quoi bien manger le matin, il dit qu’une journée qui commence le ventre vide est une journée foutue.
Fais-moi voir quel maillot tu as apporté, regarde le mien.

Elle sort de sa valise des timbres-poste, j’ai envie de lui dire que je réprouve qu’elle porte ça devant mes s, mais je veux garder la bonne impression que j’ai après cette nuit m’ayant apportée une situation nouvelle et toute de même fort agréable.
Je sors le maillot une pièce que je porte depuis presque dix ans.

- Quelle horreur, il va falloir que je te relooke de A à Z ?

Je passe tout de même mon maillot et nous remontons jusqu’à la cuisine.

- Bonjours mes filles, tes petits diables dorment encore, ils sont comme les deux chenapans que vous étiez Claudia et Franck, impossible de vous coucher et impossible de vous lever.
Que prenez-vous au petit déjeuner, une journée qui commence le ventre vide est une journée foutue ?

Avec Claudia, nous nous regardons et sommes à deux doigts d’éclater de rire.


- Que faite vous ce matin les filles ?
- Je vais m’occuper de Josy, je vais en faire une véritable vamp, elle s’encroûte à son âge qui est près du mien elle me donne l’impression d’avoir cinquante ans.
- Tu exagères un peu, quarante si tu veux alors que nous soyons loin des trente.
- Je vais aller réveiller tes monstres, je vais les emmener au marché, je leur payerais une limonade, la maison sera tout à vous.
- Merci Jacques, mais notre nid douillet nous suffira.
- Je vois qu’il y a une bonne ambiance entre vous, tu as raison, Claudia fait voir tout ton art à ta belle-sœur, je suis sûr qu’elle va plaire à mon fils quand ils se retrouveront.

Nous attendons que les s qui nous sautent au cou dès qu’ils sont dans la cuisine soient partis avec mon beau-père pour descendre dans le sous-sol.

- Tu fermes à clef !
- Pour faire de toi une autre femme, il faut que tu sois nue et dans la journée ce n’est pas comme celle-ci nuit, papa pourrait descendre si nous n’avons pas fini quand ils reviendront.
Viens dans la salle de bains, je vais te laver les cheveux, enlève ce maillot inélégant.

Je suis comme une petite fille intimidée, je m’exécute pendant qu’elle fait couler l’eau, elle a sorti de sa valise des sels odorants.
J’ai l’impression d’être une princesse.

- Met ta tête en arrière, c’est bien, tes cheveux sont rincés, reste quelques minutes dans l’eau le temps que j’ai préparé mes affaires.

Quand elle revient, elle a enlevé son maillot, me prends la main, me sort de l’eau et m’essuie avec une serviette.
Je trouve qu’elle s’attarde un peu sur mon intimité, mais comme cette nuit avec sa main sur mon sein, j’aime et je suis ruisselante.

- Par quoi commence-t-on, tes cheveux, ils sont humides, je vais te faire une coupe à la Lady Diana, tu vas retrouver tes vingt ans.

Son coup de ciseau est très professionnel et rapidement dans la glace qui me renvoie mon image, je suis une autre.

Elle s’attaque à mes ongles, j’ai choisi des motifs simples qui me représentent bien.
Et pour finir, elle installe un drap sur le lit et me fait coucher.

- Attaquons cette forêt vierge, veux-il être entièrement épilé comme moi mais cette jolie toison blonde serait plus belle taillée en triangle.
- Franck préférera une toison bien taillée.
- Tu penses toujours en pensant à ton mari !
- Tu as raison, un joli triangle.

Ciseau, rasoir, pince à épiler, c’est la première fois que des doigts féminins sont aussi près de ma fente et je sens que rapidement je suis émoustillée.
Sans comprendre ce qu’il m’arrive, lorsque Claudia me demande d’écarter mes cuisses pour enlever les poils intérieurs de mon intimité, je la vois sa pencher et faire rouler sur sa langue mon bouton d’amour.
« Bouton d’amour » c’est ainsi que Franck, encore lui appelle mon clitoris.

- Ah !
- Dis-moi, tu es sensible comme j’aime qu’une femme le soit quand je la satisfais.
- Tu es lesbienne !
- Seule ma mère le savait, je suis coiffeuse et lesbienne ma chère Claudia, si tu le désir, je vais te montrer ce que je fais à ma clientèle.

Je crois que Claudia souhaite me faire passer un message, lequel, en attendant de tout comprendre, sa langue prenant possession de mon clito, je sens le début d’une jouissance bien plus forte qu’à l’ordinaire monter en moi.
Suis-je moi aussi une lesbienne ?…

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